Où et comment voyager en avion de chasse? Vous souhaitez des sensations très fortes et vous êtes passionné d’aviation? Le combattant rencontrera rapidement ces deux normes pour vous aider à vivre une minute d’adrénaline naturelle tout à fait mémorable! Voici comment vous pouvez produire un vol aérien en avion de chasse en France dans le plus merveilleux des appareils dont les performances sont renversantes. Que ce soit ou non pour donner ou s’amuser, le tout premier voyage en avion dans un avion de chasse reste un moment gravé dans le souvenir. L’invention de votre véhicule aérien, depuis le cockpit, l’audio déployé dès l’allumage des moteurs, les toutes premières sensations procurées par l’acquisition-loin et ainsi de suite. sont de bonnes raisons typiques qui vous feront, en tant que fan de l’aéronautique, proposer un voyage aérien en avion de chasse. C’est à bord d’un Fouga CM-170 Magister que vous allez simplement vous asseoir dans le rôle de copilote. Construit par l’Aérospatiale-Potez des années 1950, le Fouga Magister a ordonné de participer à la formation des aviateurs de l’armée. Au total, un peu plus de 1000 copies ont été produites. Il est facilement connu grâce à son empennage de papillons. C’est un avion à réaction qui dessert la Patrouille de France depuis 24 ans, de 1956 à 1980. Ses capacités sont déjà largement célébrées par les aviateurs acrobatiques et de nombreuses patrouilles en font leur équipement préféré. Une fois que vous avez respecté le Fouga Magister de tous les points de vue, vous pouvez vous attendre à vous asseoir dans le cockpit à l’intérieur du lieu réservé au co-initial, qui doit indiquer le principal associé à celui-ci. Vous serez déjà plongé dans cet univers, équipé d’une combinaison avant de rouler. Vous serez ligoté et le cockpit se fermera. L’aviateur commence les deux moteurs et retire le Fouga Magister! Vous atteindrez facilement un rythme remarquable de 300 km / h et l’adrénaline fera courir tout votre corps de la tête aux pieds! Si le conducteur a envie de vous mettre à la vue, il peut effectuer de belles acrobaties! En tant que bon fan de « Top Gun », je le connais un peu kitch, mais je me suis vu chez Maverick survoler le paysage pendant des centaines d’heures. Ce potentiel qui vous amène définitivement à la base (justifiez-moi l’expression), mais c’est tellement réel! La constante expression avec le pilote, adorable en plus, en prêtant attention à chaque attente et à chaque sentiment (ce qui est assez important, puisque chaque singulier a ses propres limites, je comprends les miennes, c’est pourquoi je vais au-dessus) Le dossier Albatros vers la mer, le centre reste serré, l’atmosphère est incroyable, nous parcourons des paysages magnifiques vus de l’autre. Les promeneurs du samedi font de grandes indications tout droit, pas loin de nous … Nous leur rentrons un battement d’ailes. C’est absurde comme souvenir, mais j’aime bien prendre en compte les avions qui passent et j’aimerais qu’ils me voient aussi! Ensuite, nous prenons notre envol à travers les calanques, le panorama change, l’eau est magnifique! Nous avons certainement l’impression que nous avons toujours fait cela, nous n’avons fait qu’union avec la compagnie aérienne. La lettre initiale indique ensuite comment traiter le contrat, me montre une manœuvre, un virage arrêté ainsi qu’un converti correct et je considère les ordres, minute inoubliable et intense, je voyage! Puis il me décrit le meilleur moyen de faire « un tonneau », exécute (pas avec inquiétude), on descend plus bas, là, il passe ses mains dans l’atmosphère et me jette un « tu as découvert c’est toi qui apporte! Oh! , inexplicable étant une sensation, tout simplement incroyable! La phrase indépendance prend tout son sens!! Après quoi 8 minutes suffisent pour observer de pures acrobaties (et que je peux jurer que 8 moments sont prolongés! !!), dans lesquels j’ai encaissé 6G, forte la dame! Écrasé pendant mon siège éjecté, le casque bien pressé dans l’esprit, le bras pèse plusieurs dizaines de kilos, le meilleur de la fantaisie se réalise, je profite de chaque instant et de chaque éclosion. Le bruit du réacteur qui augmente chaque fois que le G apparaît, la vision dans l’eau que les gens ressentent vraiment pour que vous puissiez faire effet, la sensation est indescriptible, tout ce que je peux dire, c’est génial! ! Ensuite, un retour tranquille pour supporter ses sentiments, un atterrissage en douceur et les 30 minutes les plus étonnantes de mon bien-être qui s’achève … une demi-heure d’adrénaline et de bonheur naturels! Le tout premier pied sur terre est vraiment le premier homme qui a marché sur la lune … curieux! Plus qu’un engouement: recommencez! Pour les excellents 7 jours, j’avais besoin de la tête des nuages (et je n’exagère pas), toutes mes opinions étaient à 500 km / h et 6G! Ce qui était le verdict ultime? Le tout dernier verdict est très simple: dès que je peux, je recommence! Une chose modeste à fournir, un grand merci à tous ceux qui, sur place, font un travail fantastique, qui serait de rendre les ambitions réalisables! Si vous devez le faire. Suivez le lien pour en savoir plus sur ce vol en avion de chasse
Étiquette : avion de combat
La Caravelle
]. Le premier avion de la SAS est livré le 13 avril à Stockholm. En attendant la mise en service, les deux compagnies effectuent des vols de promotion. ]. Le 26 avril, la compagnie scandinave effectue une tournée dans plusieurs pays d’Europe qu’elle qualifie de « service inaugural ». Une tournée semblable a lieu avec Air France ce jour-là. En conséquence des dégâts subis par la F-BHRA à la suite d’une sortie de piste le 29 avril à Orly, Air France repousse la mise en service au lendemain de la date prévue. Le 6 mai, le tout premier vol commercial décolle d’Orly, pour faire escale à Rome, puis à Athènes, avant de se poser à Istanbul. La SAS met la Caravelle en service le 15 mai, avec un vol enre Stockholm, Prague, Budapest, Instanbul, Damas et Le Caire. Après les commandes d’Air France et de SAS, seules des compagnies européennes avaient commandé la Caravelle. ]. En mai 1959, lors de la mise en service avec Air France et SAS, les commandes s’élèvent à 49 appareils, plus 18 options. Depuis Lille vous pouvez choisir des vols dernière minute vers Nice ou Marseille pour leurs belles plages. L’aéroport de Lille dessert également Toulouse, Bordeaux et Lyon, destinations idéales pour la bonne cuisine et la fête ! Air France : C’est l’opérateur historique national et la première compagnie aérienne présente en France en termes de trafic. Depuis 2004, Air France est associée à la compagnie néerlandaise KLM au sein du groupe Air-France – KLM, 2ème transporteur européen. La plate-forme de correspondance principale d’Air France est l’aéroport de Paris – Charles-de-Gaulle. La compagnie propose plus de 190 destinations nationales et internationales. Jet : La compagnie Low Cost britannique est un transporteur de premier plan en Europe et le 2ème plus important en France. Présente dans les principaux aéroports français, easyJet propose plus de 130 destinations à travers l’Europe, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Depuis la France, la compagnie est également présente sur des vols nationaux tels que Paris – Toulouse, Nantes – Lyon ou encore Nantes – Nice.
Dans les années 1990, aussi bien les compagnies aériennes que les fabricants d’avions régionaux délaissent les turbopropulseurs et privilégient les modèles à turboréacteurs, plus rapides ; c’est l’âge d’or d’Embraer et des jets de Bombardier. Progressivement, Fokker en 1996, Saab en 1998 et Fairchild-Dornier en 2002 cessent leur activité d’avions de transport régional. Bombardier délaisse son activité turbopropulseurs et ATR frôle le dépôt de bilan : en 2003 ATR n’enregistre que dix commandes et ne livre que neufs avions. Mais les jets sont également beaucoup plus gourmands en kérosène que les turbopropulseurs. ], puis reste à des niveaux élevés. Les turbopropulseurs jugés jusqu’alors peu performants redeviennent très intéressants pour les compagnies aériennes. Aujourd’hui, la concurrence de la Chine se précise. La holding aéronautique d’État russe OAK propose le jet SuperJet 100 (SSJ-100) via sa filiale Sukhoï et la société Sukhoï Civil Aircraft Company (SCAC) et les bureaux d’études Iliouchine et Yakovlev. NPO Saturn a créé une joint-venture avec le français SNECMA, Powerjet, pour produire les réacteurs SaM-146 affectés au SSJ-100. NPO Saturn est déjà le motoriste de tous les chasseurs de Sukhoï. Quelques semaines seulement après la mission Chesapeake 2018 – qui a vu le groupe aérien embarqué (GAé) du Charles de Gaulle s’entraîner pendant sept semaines aux États-Unis à terre et à bord du porte-avions USS Georges H.W. Bush – des Rafale Marine retrouvent le pont d’un porte-avions américain. Mardi, une délégation de militaires français s’est rendue sur l’USS Harry S. Truman (CVN 75), au large de Brest. Était également présente l’ambassadrice américaine en France, Jamie D. McCourt, qui a pu observer de près des manœuvres franco-américaines avec notamment des touch and go de Rafale Marine. Le porte-avions est en effet en mission d’entraînement avec les forces françaises. Un exercice appelé French Air Defense Week qui se tient du 2 au 6 juillet, dont le but est d’accroître l’interopérabilité et la préparation des unités participantes. Des Rafale ont volé avec des F/A-18 E/G Super Hornet et des avions de guet aérien E-2D Hawkeye, dont la Marine nationale va acquérir trois exemplaires pour remplacer ses E-2C actuellement en service. De retour d’un déploiement au Moyen-Orient, l’USS Harry S. Truman, qui a fait escale la semaine dernière à Marseille, est entré en Atlantique le 29 juin. Son groupe aéronaval s’est enrichi de la frégate de défense aérienne allemande Hessen (type Sachsen), qui venait de Barcelone et a traversé Gibraltar avec les Américains. L’USS Harry S. Truman fait partie de la 6ème flotte de l’US Navy.
Sur certaines 77W, il y a une mini-cabine à trois rangées de cabines, ce qui crée un environnement intime. Si vous êtes sur l’ A380 ex-DXB, un siège de fenêtre offrira plus d’espace qu’un siège central. Le Boeing 777 est l’avion de ligne grand public le plus utilisé au monde. À une vitesse de croisière moyenne de 840 km/h, c’est suffisant pour un total de plus de 19,6 milliards de milles parcourus. Assez pour faire plus de 13 allers-retours de la Terre à Saturne. Le 777 300er a été le premier avion commercial entièrement conçu par ordinateur. Combien de travail a été consacré à la conception du Boeing 777? Beaucoup – 1.847 trillions d’octets de données pour être exact. Vous êtes-vous déjà demandé où l’équipage allait dormir? Pendant le décollage, les moteurs du 777 poussent 3,8 millions de mètre cubes d’air par minute. C’est assez d’air pour permettre à un humain de respirer pendant 44 jours! Chaque 777 est plus grand en diamètre que la cabine d’un Boeing 737 300er – de plus d’un demi-pied. Le nouveau 777-300ER coûte plus de 320 millions de dollars. En avril 2014, avec des ventes cumulatives supérieures à celles des 747, le Boeing 777 300er devint l’avion de ligne gros-porteur le plus vendu. Selon les cadences de production actuelles, l’avion est en bonne voie de devenir l’avion de ligne gros-porteur le plus livré d’ici la mi-2016.
Une alliance Boeing Embraer
La victoire de Bombardier auprès de la Commission américaine sur le commerce international (USITC) pourrait accélérer une alliance entre Boeing et Embraer visant à concurrencer la C Series, estiment certains analystes. À leur avis, les efforts déployés par Boeing pour acquérir le constructeur brésilien suggèrent que le géant américain considère que son offre dans le segment des avions de 100 à 150 places ne constitue pas une option valable. «Cela pourrait toutefois changer grâce à un partenariat ou une acquisition d’Embraer, dont le portefeuille est similaire à celui de Bombardier», a écrit Chris Murray, d’AltaCorp Capital, dans un rapport envoyé lundi. L’analyste a également rappelé que le Brésil s’est tourné vers l’Organisation mondiale du commerce (OMC) contre le Canada dans le cadre des aides gouvernementales octroyées à Bombardier. Vendredi, le titre d’Embraer avait grimpé à la Bourse de New York avant de céder du terrain lundi. S’il convient que la décision de la USITC risque d’accélérer les discussions entre Boeing et Embraer, Richard Aboulafia, de la firme américaine Teal Group, croit qu’une union entre les deux avionneurs est «illogique». Ces temps-ci, les jets privés de la famille Falcon, dont les prix vont de 27 à 55 millions de dollars suivant la taille, se vendent moins bien. Dassault en a facturé 49 contre 55 en en 2015. En revanche, 9 Rafale ont été livrés, soit un de plus que l’année précédente. Et surtout, le carnet de commandes pour les années à venir a fait un bon de 6 milliards pour atteindre 20,2 milliards d’euros. Principalement grâce aux commandes du chasseur-bombardier de Dassault, venues d’Inde et du Qatar. D’ici là, l’avionneur espère bien signer à nouveau avec New Delhi. Il lorgne avec gourmandise le prochain appel d’offres de la marine locale, qui devrait porter sur 57 nouveaux appareils. «Les Indiens se sont habitués au Rafale, ils vont aimer en avoir», estime, un rien commercial, Eric Trappier. Loin de verser une larme sur les malheurs du produit concurrent, le F-35 américain construit par Lockheed-Martin, Eric Trappier se verrait bien en profiter.
L’appareil fut produit en 926 exemplaires dont 320 Tu-154M (version qui vola à partir de 1982) et 606 Tu-154A/154B ; 166 ont été vendus hors d’URSS. La production annuelle maximale a eu lieu en 1980 avec 76 appareils. De 2001 à 2012, neuf exemplaires sont produits. Tu-154 : équipé de trois GTR Kouznetsov NK-8-2 à double-flux d’une poussée de 93,2 kN. Tu-154A et Tu-154B : équipés de trois Kouznetsov NK-8-2U d’une poussée de 103 kN. Le poids maximum au décollage est aussi accru. Tu-154S : version cargo. Tu-154M : équipé de trois Aviadvigatel (Soloviev) D-30KU à double-flux d’une poussée de 104 kN. Tous ont un groupe auxiliaire de puissance situé au-dessus du moteur central et qui utilise les mêmes entrées et sorties. LL-154 : avion expérimental, préparé pour le vol sous microgravité (zéro G). Tu-155 et Tu-156 : bancs d’essais de moteurs cryogéniques. Il y a eu 70 accidents et incidents sérieux impliquant le Tu-154 depuis sa mise en service à 2016. Trente d’entre eux n’ont pas fait de victime. 1er juillet 2002 : vol 2937 Bashkirian Airlines, un appareil de la compagnie Bashkirian Airlines entre en collision avec un Boeing 757 de la compagnie de fret DHL.
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Un avion de combat franco-allemand
Le patron d’Airbus Defence and Space, l’Allemand Dirk Hoke, s’est félicité de l’avancée enregistrée par Paris et Berlin autour du Système d’avion de combat du futur (Scaf), dont il sera l’une des chevilles ouvrières sur le plan industriel. « Nous saluons expressément le prochain lancement d’une étude conceptuelle commune pour le Scaf, avec des compétences et responsabilités clairement définies », a affirmé Dirk Hoke dans une déclaration transmise à l’AFP. « L’accord conclu par les ministères de la Défense (français et allemand) représente une avancée majeure vers le développement conjoint d’un Scaf européen et un jalon important dans la coopération franco-allemande », a-t-il ajouté. « Nous sommes prêts à contribuer à la réussite de ce projet, tout en étant parfaitement conscients de la responsabilité que cela implique pour le paysage industriel allemand et français », a-t-il conclu. La ministre française des Armées Florence Parly a annoncé mardi que les deux capitales s’étaient entendues pour lancer l’an prochain des études autour de démonstrateurs, étape préliminaire pour le développement du Scaf. En juin, France et Allemagne ont décidé de mettre au point, ensemble, l’avion de combat du futur. Étape décisive aujourd’hui avec l’accord pour entamer les études d’architecture et de conception et le lancement de démonstrateurs (avion et moteur) d’ici mi-2019.
Le Rafale est le plus récent avion de combat de Dassault Aviation. Son aérodynamique évoluée lui permet de tirer parti de sa motorisation, qui reste assez faible comparée à celle des chasseurs américains classiques comme le F-15. Il est conçu pour être discret, ce qui est loin de le placer au niveau de la furtivité du F-22, mais est une avancée par rapport à ses prédécesseurs. Il est doté d’une suite de détection et de contre-mesures intégrée à l’avion, SPECTRA, qui lui permet de surveiller son environnement sans angles morts. Son radar RBE-2 est à antenne électronique passive, ce qui lui donne une flexibilité nouvelle pour un radar français. Deux de ses grandes forces sont l’ergonomie de son cockpit et la facilité à changer de mission en cours de vol. Ses performances à l’export sont plus limitées, il a subi ces dernières années une série d’échecs. Actuellement, les deux principaux dossiers en cours sont le Brésil, dont la décision est reportée après 2011, et les Emirats Arabes Unis. Des tentatives de vente au Maroc, en Corée ou à Singapour ont échoué en faveur d’autres appareils concurrents (F-16 ou F-15). Lors des appels d’offres, il est régulièrement opposé à l’Eurofighter et au Gripen, deux autres avions européens.
Mais, visiblement, ce dernier intéresse beaucoup Boeing…. Selon les termes de l’accord, cette co-entreprise doit être implantée au Brésil, tout en étant rattachée à Dennis Muilenburg, le PDG de Boeing. Seulement, Boeing lorgne aussi sur les activités militaires d’Embraer, qui produit aussi l’avion léger d’attaque A-29 Super Tucano (en lice pour équiper l’US Air Force, via un partenariat avec Sierra Nevada Corporation). Ainsi, selon le quotidien brésilien Valor Economico, Boeing et Embraer auraient aussi l’intention de créer une co-entreprise dans le domaine de la défense. Déjà, via un accord signé en 2016, Boeing s’est engagé à assurer le soutien logistique du KC-390 pour les clients étrangers d’Embraer. Mais comme l’avait confién à Defense News, Jackson Schneider, le patron de la division « Défense et Sécurité » de l’industriel brésilien, la création d’une co-entreprise permettrait une « collaboration beaucoup plus large. « Boeing a une expérience fantastique et le KC-390 est un avion fantastique. Un bouton-poussoir et un voyant de synchronisme permettant de faciliter la mise en parallèles des alternateurs, qui est normalement automatique (même tension, même fréquence et même rotation de phase). En cas de panne, le mécanicien navigant peut déconnecter mécaniquement l’IDG à partir du poste de pilotage. Le vol se poursuit avec trois générateurs. De plus, pour respecter la réglementation, un alternateur de secours entraîné par un circuit hydraulique est également installé. En dernier recours, un convertisseur statique courant continu/courant alternatif assure le courant alternatif à partir des batteries de bord. Ces deux batteries cadmium/nickel assurent le dernier secours en 28 V. La recharge de ces batteries et l’alimentation électrique continue sont assurées par des transfo-redresseurs 115/28 via des contrôleurs de charge. Au sol, moteurs arrêtés, l’avion est alimenté par un groupe de parc de minimum 90 kW de puissance. Le Concorde dispose de nombreux éclairages. Les commandes des éclairages se situent dans le cockpit, juste au-dessus du pare-brise afin d’être accessible aux deux pilotes. Deux phares d’atterrissage rétractables d’une puissance de 600 W sont situés à l’intrados, près du bord d’attaque, à proximité de la jonction entre l’aile et le fuselage.
Ce marché fait face à un énorme problème que personne n’a vu venir et que les avions CRJ pourrait solutionner. Les «scope clauses» dont plusieurs analystes prévoyaient la disparition, demeurent en place. Les plus récentes conventions collectives des pilotes des compagnies aériennes contiennent toujours ces clauses très limitatives quant aux avions qui peuvent être utilisées par les compagnies d’aviation régionales. Ces «Scope clauses» interdisent à ces compagnies d’utiliser des avions comportant plus de 76 sièges et dont le poids maximum au décollage excède 86,000 livres. Deux avions aspirent à conquérir le marché régional américain, l’Embraer E175-E2 et le Mitsubishi régional jet (MRJ), mais leur poids maximum au décollage dépasse la limite permise par les conventions collectives. Afin de pouvoir la respecter, ils devraient soit restreindre le nombre de passagers transportés, ce qui réduirait leur rentabilité, soit diminuer la quantité de carburant embarqué, ce qui réduirait leur rayon d’action. Monsieur Aboulafia explique que dans ce contexte, le CRJ-900 de Bombardier apparaît comme une très bonne alternative. Son poids maximum au décollage ne serait que de 80,000 livres. L’analyste américain estime toutefois que la compagnie montréalaise devrait remotoriser et moderniser cet avion. La chose semble tout à fait possible à la condition d’utiliser des moteurs plus légers que le PW1000 de Pratt&Withney qui ont été utilisés pour le C Series, le MRJ et le E175-E2. Ces moteurs sont plus efficaces que les autres mais ils sont malheureusement très lourds. Ce sont eux qui sont responsables de l’excès de poids du MRJ et du E175-E2. C’est un scénario que Bombardier connaît bien. Les CRJ actuels ont été développés à partir des avions d’affaires Challenger il y a près de trente ans. Or la taille du Global 7000 est voisine de celle d’un avion régional.
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Sukhoi SU-29MM
Le Sukhoi SU-29MM de Parkzone est le fruit de l’association d’une structure légère avec une puissante motorisation brushless. Pour voler : Il faut ajouter une batterie, un chargeur et une radiocommande Spektrum programmable (Dx6 ou plus). La technologie SAFE permet au Sukhoi SU-29MM de « connaître » son inclinaison par rapport au sol. Cette capacité a été utilisée pour créer 4 modes de vol qui permettent aux pilotes de découvrir la voltige en toute confiance en limitant les risques. L’avion peut effectuer n’importe quelle figure de voltige classique ou 3D, mais se stabilise automatiquement si les 2 manches sont relâchés. Ce mode est l’équilibre parfait entre une manœuvrabilité extrême et une stabilité élevée, idéal pour l’entrainement aux figures 3D à basse vitesse comme le stationnaire et le Harrier. Idéal pour effectuer de la voltige de précision à vitesse élevée, ce mode gomme les effets de turbulence, l’avion est comme sur des rails. Remise à plat immédiate de l’avion en appuyant sur un bouton. Peut être activé à tout moment dans n’importe quel mode de vol. Déjà plus de 100 millions d’euros investis. Dassault avait négocié pendant plusieurs années avec la société indienne HAL dans le cadre d’un appel d’offres pour 126 avions de chasse, majoritairement assemblés en Inde, mais les tractations n’avaient pas abouti. Peu après l’arrivée au pouvoir du nationaliste hindou Narendra Modi, New Delhi avait annulé cette procédure et préféré acquérir directement 36 Rafale fabriqués en France pour un montant estimé à 9,4 milliards de dollars. Selon les termes du nouveau contrat, l’avionneur français s’est associé avec un partenaire indien, Reliance Group, dirigé par le magnat Anil Ambani. Cette société n’avait pourtant aucune expérience préalable dans l’aéronautique. Dassault a déjà investi plus de 100 millions d’euros dans sa co-entreprise avec Reliance à la suite du nouvel accord. Vers une nouvelle requête. La décision de vendredi est considérée comme une victoire pour le gouvernement nationaliste hindou de Narendra Modi, qui a subi une débâcle lors d’élections dans plusieurs Etats plus tôt cette semaine. Ses détracteurs ont en revanche dénoncé « une mauvaise décision ». Prashant Bhushan, devant la Cour, envisageant de déposer une nouvelle requête. Un contrat décrié aussi en France. Le contrat est aussi décrié par certains en France. L’ONG Sherpa a ainsi porté plainte en novembre pour dénoncer les conditions de vente de ces Rafale, en particulier celles qui ont entouré le choix de Reliance. Le site d’informations Mediapart a dénoncé le financement partiel par Reliance, au moment de la finalisation de la vente, d’un film co-produit par Julie Gayet, compagne du président de l’époque, François Hollande. Ce dernier s’est défendu de tout conflit d’intérêts, affirmant que la France n’avait « pas eu le choix » du partenaire indien de Dassault.
L’accord entre Embraer et Boeing évolue. La valeur de la division aviation civile du groupe brésilien a été revue en hausse de 11% pour atteindre 5,26 milliards de dollars. Un obstacle a été levé pour le projet de rapprochement entre le groupe aéronautique brésilien Embraer et le géant américain Boeing. Les négociations entre les deux entreprises avaient été suspendues à cause d’une ordonnance déposée par des parlementaires brésiliens. ] Mais pourquoi cet avion « requin » a atterri à l’aéroport de Lhassa, au Tibet ? Vidéo Un avion décoré façon « nez de requin » s’est posé début novembre sur la piste de Lhassa, l’un des aéroports les plus hauts du monde. Mais pourquoi cette étrange mise en scène ? C’est une manière plutôt originale de faire sa promo. Au salon aéronautique de Farnborough, Boeing et Embraer défendent leur projet de partenariat dans l’aéronautique civile, se disant confiants dans l’obtention de l’aval des autorités réglementaires et de leurs actionnaires. L’avionneur brésilien Embraer a sélectionné Hispano-Suiza (groupe Safran) pour fournir le système de distribution électrique ainsi que l’intégration complète du système électrique avion pour son futur avion de transport militaire, le KC-390. L’intégration du système électrique complet de l’avion (génération, conversion, distribution primaire et secondaire, système de génération électrique de secours). « Ce nouveau contrat avec Hispano-Suiza renforce la bonne relation entre nos deux sociétés. Le KC-390 est un avion de transport bi-réacteur de moyenne capacité qui peut être ravitaillé en vol, et utilisé comme avion ravitailleur en vol ou au sol. Safran est un groupe international de haute technologie, équipementier de premier rang dans les domaines Aérospatial (propulsion, équipements), Défense et Sécurité. Pour répondre à l’évolution des marchés, le Groupe s’engage dans des programmes de recherche et développement qui ont représenté en 2010 un investissement de 1,2 milliard d’euros. Spécialiste de l’extraction de la puissance, de la gestion de l’énergie électrique et de sa conversion, Hispano-Suiza (groupe Safran) est un acteur majeur de la chaîne de l’énergie à bord de l’avion. Leader mondial dans le domaine des transmissions de puissance, Hispano-Suiza équipe près de 60 % des avions de plus de 100 places. Embraer S.A. (NYSE : ERJ ; BM&FBOVESPA : EMBR3) est le premier constructeur mondial de jets commerciaux jusqu’à 120 places et l’un des premiers exportateurs du Brésil. L’entreprise a son siège social à São José dos Campos, São Paulo et des usines et bureaux de service client au Brésil, en Chine, France, Portugal, Singapour et aux Etats-Unis. Créée en 1969, la société conçoit, développe et construit des avions et des systèmes aéronautiques pour l’aviation civile, l’aviation d’affaires et les secteurs de la défense et de la sécurité. Elle fournit aussi un support après-vente et des services à ses clients du monde entier. Au 30 septembre 2011, Embraer compte 17 204 collaborateurs (sans compter ceux des filiales non détenues à 100%) et son carnet de commandes fermes se monte à 16 milliards de dollars.
Une enveloppe de 150 millions d’euros avait été évoquée. Le projet n’a jamais abouti. « Il y a une interdiction formelle des Etats-Unis de vendre ce type de missiles à des pays du Moyen-Orient. C’est lié à une règle américaine qui empêche de vendre des armes pouvant mettre à mal la supériorité militaire d’Israël », commente Andrew Miller, ancien conseiller militaire du président Obama. « Les Etats-Unis sont par ailleurs très frustrés de voir que les Egyptiens ne se paient pas plus de matériel militaire américain. Manque de chance, ces missiles ont des composants Itar. Bis repetita : les Etats-Unis ont une raison géopolitique et un levier juridique pour s’y opposer. Alors que l’émirat qatarien a commandé 12 nouveaux Rafale en décembre 2017, les Etats-Unis auraient annoncé au début de l’été à leurs partenaires français qu’ils devront chercher de quoi remplacer les composants américains du Meteor. Il va falloir trouver une solution, et vite : c’est justement parce que les Etats-Unis n’auraient jamais accepté de fournir ce type de missile au Qatar que l’émirat s’est tourné vers la France. Pour l’instant, Dassault n’a pas été visé directement. Mais le coup de fouet américain n’est pas passé loin.
Jusqu’en 1982, les destinations pour Air France étaient : Rio de Janeiro, Caracas, Dakar, Mexico, Washington, Dallas et New York. À partir de 1983, pour rentabiliser au maximum son supersonique, la compagnie réduisit ses vols à la seule destination de New York, assurant cependant en plus des vols spéciaux appelés charters et des tours du monde. Le temps de vol moyen sur l’un ou l’autre des itinéraires était d’environ trois heures et demie. Jusqu’en 2003, Air France et British Airways ont continué à avoir des liaisons quotidiennes avec New York. En plus, Concorde a volé vers la Barbade pendant la saison de vacances d’hiver et, de temps en temps, aux destinations de Rovaniemi en Finlande. Le 1er novembre 1986, un Concorde a effectué le tour du monde en 31 h 51 min. Pendant une période brève en 1977, puis de 1979 à 1980, British Airways et Singapore Airlines partagèrent un Concorde pour les vols entre Bahreïn et l’aéroport international de Changi. Origine : L’utilisation de ces avions se répand durant la Seconde Guerre mondiale. Ils sont alors employés pour lutter contre les sous-marins. Avion nolisé Sens : Avion affrété pour transporter des passagers selon la demande. Origine : On parle de vols nolisés, donc loués, car ils sont organisés en dehors des vols réguliers. Ce sont surtout les agences de voyages qui procèdent à ces locations. 31 octobre 1956 Le premier avion attérit au pôle sud Le « Que sera, sera » un LC-47 piloté par l’Amiral George J.Dufek est la premier avion à se poser sur le pôle nord. Dufek devient le premier américain à fouler le sol de l’Antarctique. 1er mai 1960 Un avion américain est abattu au dessus de l’URSS Les Soviétiques abattent un avion-espion américain U-2 qui survolait l’Oural à 19 000 mètres d’altitude. 9 octobre 1930 Laura Ingalls traverse l’Amérique en avion L’Américaine Laura Ingalls est la première femme à traverser les Etats-Unis en avion d’Est en Ouest. Elle rallie New York a Los Angeles en 30 heures. 2 mai 1952 Premier avion de ligne à réaction L’avion à réaction « Comet 1 » de la firme britannique De Havilland, effectue un vol inaugural entre Londres et Johannesburg (Afrique du Sud). 28 novembre 1947 Mort du général Leclerc dans un accident d’avion Le général Leclerc meurt dans un accident d’avion lors d’une inspection en Algérie. 93 000 tonnes est surnommé le « Big E » par ses matelots. Il est le premier porte-avions à énergie nucléaire. 12 septembre 1970 Spectaculaires détournements d’avions Des pirates de l’air palestiniens du FPLP font sauter sur l’aéroport de Zarka en Jordanie trois avions de ligne détournés après en avoir libéré les passagers. Elf et l’Etat français : l’affaire des avions renifleurs. Mach 1,06. Mais son record n’a pas été homologué du fait que son avion n’a pas décollé par ses propres moyens.
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Tupolev Tu-144
Le Tupolev Tu-144 (en russe : Tyполев Ту-144, nom de code OTAN : « Charger ») est un avion de ligne supersonique quadriréacteur développé en URSS par le bureau d’études Tupolev. Avec le Concorde franco-britannique, ils sont les seuls avions civils supersoniques à avoir atteint la production. Le Tupolev Tu-144 est construit en trois versions, Tu-144, Tu-144S et Tu-144D. La première sert uniquement de prototype et un seul appareil est construit. La production prend fin en 1985 avec un total de 16 appareils construits, soit un prototype, dix Tu-144S et cinq Tu-144D. La conception du Tu-144 est due, au moins partiellement, à l’espionnage industriel au profit du GRU, les usines françaises de Sud-Aviation (Aérospatiale) ayant particulièrement été mises à contribution. Des informations d’archives, maintenant ouvertes au public, indiquent que la boîte noire fut ramenée en URSS et analysée. ]. En conséquence, le vol Aeroflot du 1er juin 1978 fut le cinquante-cinquième et dernier vol régulier. Dans les années 1980, les deux derniers modèles de production en état de vol ont été utilisés pour des essais, notamment pour la recherche sur la couche d’ozone à haute altitude. L’inconvénient est qu’un aéronef instable ne peut être maintenu dans une attitude stable qu’en appliquant des consignes rapides et précises sur les commandes de vol. Cela ne peut être accompli avec un contrôle manuel direct et par un pilote seul. ]) permettant une parfaite manœuvrabilité. Le Rafale est doté d’une aile delta à flèche modérée (48° contre 58° pour le Mirage 2000 et 53° pour Eurofighter) et grand allongement, d’où une grande finesse d’aile. Pour le contrôle du vol, huit commandes sont installés sur les ailes. Sur le bord de fuite des deux ailes sont placés deux grands élevons, conjuguant l’action d’une gouverne de tangage (volet de profondeur) à celle de roulis. Sur le bord d’attaque sont également installées deux becs amovibles, qui permettent essentiellement d’augmenter la portance. Comparé au Rafale A, qui disposait de trois élevons et trois becs sur chaque aile, cette configuration simplifiée permet de gagner en poids et en simplicité, donc en coût et en maintenance. Contrairement aux traditions de l’aviation navale française qui met alors en service des aéronefs aux extrémités d’aile repliables, celles du Rafale, toutes versions confondues, demeurent fixes.
↑ Eureka Aviation : Wegg 2005, p. ↑ Les vols passagers avec Gabon Express : Wegg 2005, p. ↑ a et b Caractéristiques techniques de la Caravelle : Wegg 2005, p. ↑ Atterrissage automatique sans visibilité : Wegg 2005, p. ↑ Liste des opérateurs civils : Wegg 2005, p. ↑ Début des services commerciaux en Caravelle de chaque compagnie : Wegg 2005, p. ↑ L’armée de l’air algérienne : Wegg 2005, p. ↑ Fuerza Aérea Argentina : Wegg 2005, p. ↑ a b c d e et f Caravelle militaires en Afrique : Wegg 2005, p. ↑ La Fuerza Aérea Mexicana : Wegg 2005, p. ↑ Les TP85 de la Svenska Flygvapnet : Wegg 2005, p. ↑ Liste de production de la Caravelle : Wegg 2005, p. ↑ Transport de Josip Broz Tito : Wegg 2005, p. John Wegg, Caravelle : La Française de la jet set, Avia-Éditions, 2005, 576 p. Pierre Gaillard, Caravelle : Les ailes du renouveau, ETAI, 2005, 350 p. Pascale Monmarson-Frémont & Véronique Peyraud, Caravelle : Bienvenue à bord d’une légende ! ETAI, 2006, 160 p. J.-B. Lenoir, « Caravelle », Airliner in Service, no 4, ?
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